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Tribune radio de débats oratoires pour universitaires engagés! |
L'équipe gagnante!
C'est Rose St-Pierre (Contre) qui remporte ce deuxième débat, avec un résultat de 73,53%, contre 65,47% pour Nicolas Toutant (Pour)! Toutes nos félicitations aux deux équipes. La lutte a été chaude! Merci à toutes les personnes qui ont pris le temps de voter!
Mise en contexteLe 3 novembre prochain, les Québécois seront appelés aux urnes pour élire le candidat qu’ils souhaitent voir prendre les rênes de leur ville. Selon leur arrondissement, les Montréalais auront à sélectionner sur leur bulletin de vote : le maire de la ville, le maire de leur arrondissement, les conseillers de la ville et les conseillers de leur arrondissement. La métropole n’est pas la seule à arborer un schéma politique complexe. En France, la ville de Paris est divisée en vingt arrondissements pour une population approximative totale de 2 244 000 habitants en 2010. Pour sa part, la Ville de New York est composée de 5 arrondissements pour une population de plus de 8 millions d’habitants. La municipalité de Montréal (1 650 000 habitants) compte la plus grande population dans la province, suivie de loin par la ville de Québec (517 000 habitants) et la ville de Laval (404 000 habitants). La Ville de Montréal est la seule ville de la province à être divisée en arrondissements. Depuis 2006, la structure politique de Montréal suit ce schéma: un maire, dix-neuf maires d’arrondissement, quarante-six conseillers municipaux, trente-huit conseillers d’arrondissement pour un total de cent trois élus. En comparaison, la ville la plus peuplée du Canada, Toronto, compte 45 élus - moins de la moitié des élus de Montréal. À l’aube des élections, le débat est relancé : Pour ou contre les mairies d’arrondissement? |
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